Salut Popol...

Un p'tit coucou à Jean Paul Le Bris qui a débuté à l'UVSGB....vainqueur(tout comme son fils de la doyenne des classiques Amateurs.
Un cours passage comme équipier du Blaireau mais il est vrai que Guimard ne lui a pas laissé sa chance...le court teme et le pognon sans doute 

Le Puy de Dôme a eu son spécialiste. Il n'a pas couru le Tour de France mais la Route de France, épreuve réservée aux amateurs. Jean-Paul Le Bris est invaincu sur la pente régulière du vieux volcan.




Par Dominique Turgis


Ses 164 cm ont vaincu par trois fois les 1 415 m du Puy de Dôme. Mieux, avec sa bouille ronde et son menton en avant, il est invaincu sur les pentes du Géant auvergnat. Jean-Paul Le Bris, un gars de la région parisienne, n'avait jamais grimpé un col ou une montagne avant de découvrir le Puy de Dôme en 1979. « C'est la première fois que je courais en dehors de mon comité » se souvient le Francilien pour www.cyclismag.com. Pour son baptême du feu, Jean-Paul Le Bris s'offre donc un succès contre-la-montre sur les six kilomètres d'ascension, avec 54'' d'avance sur George Mount, l'Américain vainqueur final du Tour d'Auvergne. « Le niveau était relevé avec les Américains, les Italiens, les Suisses et les Belges. »

ATTAQUE SUR LE 42X17

Dans cette première ascension, Jean-Paul Le Bris est parti à l'aveuglette. « Je ne l'ai pas reconnu avant le chrono. » Le matériel de l'époque n'a rien du vélo spécial contre-la-montre. « J'avais un vélo de 11 kg . Pas de roue légère. Pour les braquets, avec les roues libres à six pignons, il fallait faire des choix. J'avais le 42 à l'avant. A l'arrière, j'avais 13-15-17-20-21-22 mais je n'ai jamais mis le 22. Je l'avais en secours. » Un braquet énorme si on le compare au 41x23 de Johnny Weltz en 1988 qui rappelle qu'«aujourd'hui, les coureurs veulent des 39x25.»
Quelques semaines plus tard, retour sur les lieux de l'exploit avec la Route de France amateurs organisée par Jean Leulliot à Vichy.
La Route de France, créée en 1951, est d'abord un petit Tour de France pour amateurs et indépendants. L'arrivée du Tour de l'Avenir le concurrence. La course centrée autour de Vichy devient alors un rendez-vous pour les équipes amateurs puis pour les comités. Le Puy de Dôme en est un des juges de paix mais le contre-la-montre désigne souvent le vainqueur final. (1)
En 1979, l'étape du Puy de Dôme est courte de 6 km . Les coureurs partent groupés de la Baraque au pied du volcan. Pas question de s'endormir. « J'avais le même braquet que pour le chrono du Tour d'Auvergne. Tactiquement, on se base par rapport à ceux qui sont en forme. J'ai attaqué sur le 42x17 pour faire la sélection et j'ai remis le 20 dents pour prendre mon rythme. Il y a eu un mano a mano avec Charly Bérard et je l'ai lâché. »

UNE REGULARITE EXTENUANTE

En 1980, l'étape est plus longue avec 80 km et Jean-Paul Le Bris découvre que « la route monte déjà avant la Baraque. C'est à cet endroit que nous avons rejoint les échappés. Ensuite, ça s'est décidé à la pédale. » Sur la pente à 10 ou 11%, le Parisien de l'UC Longjumeau domine Stephen Roche et Jérôme Simon, futur vainqueur final.
La régularité de la pente, voilà une des particularités du Puy de Dôme. « En général, je montais par saccade, alors cette régularité rend l'ascension très éprouvante. On ne peut jamais récupérer. Un moment, quand on sort des arbres, on prend du vent. »
Jean-Paul Le Bris ne regrimpera plus le Puy de Dôme. Sa première victoire de 1979 lui ouvre les portes de l'équipe de France au Tour de l'Avenir et au Tour de Yougoslavie. Elle le fait aussi remarquer par Cyrille Guimard qui l'embauche chez Renault en 1981. Chez les pros, le succès n'est pas au rendez-vous mais Jean-Paul Le Bris reste pour toujours le seul coureur à avoir aligné trois victoires au sommet du volcan, sans jamais connaître la défaite.

A quoi ça sert de faire des copier coller de cyclismag.com ?

http://www.cyclismag.com/print.php?sid=5121

Moi j' aime beaucoup , c' est surement mieux que les élucubrations sur Cancellara ; et Jean Paul Lebris , l' essonnien a bien été un très bon coureur  

pierro a écrit:Moi j' aime beaucoup , c' est surement mieux que les élucubrations sur Cancellara ; et Jean Paul Lebris , l' essonnien a bien été un très bon coureur  

moi aussi j'aime
l'UVGSB sacres club formateur:Jean Paul Lebris,1 belle bande de 1ere Marciaux,Audoux...tout ca avec tres peu de moyens mais bcp de volonté et de benevolat.J'y ai couru jeune sous l'œil bienveillant du Père Gallopin,du père Sorel,de mr Brulard(toujours là pour son club),les chocolats chaud de Mme Fauvel à l'arriere du camion"Raymond sport..;sans parler des sorties du mercredi apres midi avec des demoiselles qui nous mettaient la misere(Lachivere,Jouanny,Gendron...)

SOGRANI a écrit:A quoi ça sert de faire des copier coller de cyclismag.com ?

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Simplement pour dire que Popol c'était la classe un pur grimpeur et qui refusait de prendre un aspirine même pour un mot de tête (pour les mal-pensants).
Je connaissais très bien Jean-Paul ayant été coéquipier avec lui et j'habitais pas très loin de chez lui, hélas je n'ai plus de nouvelle de lui alors si quelqu'un en a. Je me rappelle du temps de Guimard il servait de dépannage à Bernard Hinault au cas ou un incident arrivait à Bernard avec une sortie de selle plus haute qu'elle ne devrait être. De plus il était d'une gentillesse.
Eric

LINDER eric a écrit:

SOGRANI a écrit:A quoi ça sert de faire des copier coller de cyclismag.com ?

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Simplement pour dire que Popol c'était la classe un pur grimpeur et qui refusait de prendre un aspirine même pour un mot de tête (pour les mal-pensants).
Je connaissais très bien Jean-Paul ayant été coéquipier avec lui et j'habitais pas très loin de chez lui, hélas je n'ai plus de nouvelle de lui alors si quelqu'un en a. Je me rappelle du temps de Guimard il servait de dépannage à Bernard Hinault au cas ou un incident arrivait à Bernard avec une sortie de selle plus haute qu'elle ne devrait être. De plus il était d'une gentillesse.
Eric

D'une très grande gentillesse...trop sans doute dans ce milieu de requins des pros..........

LINDER eric a écrit:

SOGRANI a écrit:A quoi ça sert de faire des copier coller de cyclismag.com ?

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Simplement pour dire que Popol c'était la classe un pur grimpeur et qui refusait de prendre un aspirine même pour un mot de tête (pour les mal-pensants).
Je connaissais très bien Jean-Paul ayant été coéquipier avec lui et j'habitais pas très loin de chez lui, hélas je n'ai plus de nouvelle de lui alors si quelqu'un en a. Je me rappelle du temps de Guimard il servait de dépannage à Bernard Hinault au cas ou un incident arrivait à Bernard avec une sortie de selle plus haute qu'elle ne devrait être. De plus il était d'une gentillesse.
Eric

Jean Paul ,travaillait il n' y a pas si longtemps ,à la mairie de Morsang sur Orge comme jardinier

wolferqsberger a écrit:

pierro a écrit:Moi j' aime beaucoup , c' est surement mieux que les élucubrations sur Cancellara ; et Jean Paul Lebris , l' essonnien a bien été un très bon coureur  

moi aussi j'aime
l'UVGSB sacres club formateur:Jean Paul Lebris,1 belle bande de 1ere Marciaux,Audoux...tout ca avec tres peu de moyens mais bcp de volonté et de benevolat.J'y ai couru jeune sous l'œil bienveillant du Père Gallopin,du père Sorel,de mr Brulard(toujours là pour son club),les chocolats chaud de Mme Fauvel à l'arriere du camion"Raymond sport..;sans parler des sorties du mercredi apres midi avec des demoiselles qui nous mettaient la misere(Lachivere,Jouanny,Gendron...)

Mon message ayant disparu....

Pour une fois,nous serons d'accord...moi aussi,j'ai fais mes première pédalées en Cadets dans ce club familial et je connais fort bien les noms des dirigeants que tu cites(sans oublier Monsieur Mestas,le président avant Jacques Brulard)
Une pensée particulière pour Roro Gallopin qui nous emmenais chaque Dimanche sur les courses avec sa 404...notre papa à tous et beaucoup de tendresse pour les garnements que nous étions...il oubliais toutes les co.nneries que nous faisions après course mais toujours un encouragement pour une victoire,une belle place ou un abandon...peu lui importait,voila un dirigeant digne de ce nom.
Sans oublier les réunions du Samedi soir pour donner les résultats de TOUS,toujours des encouragements pour aider les jeunes à n'importe quel niveau à réaliser leur passion du Cyclisme.
Je pense que Jean Paul Lebris s'en souvient encore tout comme ceux qui sont passés dans ce club.
A un certain niveau,ce club n'a jamais pû matériellement subvenir aux besoins matériels du niveau National et c'est bien dommage(tout comme moi)de chercher un autre club pour poursuivre son évolution....pourtant,JAMAIS,je n'ai pû trouvé autant de conviviatité..le fric sans doute...
Ne pas oublier aussi Raymond -Sport à SGDB qui avec ses vélos bas de gamme du reste,permettait à beaucoup de jeunes d'assouvir leur passion du Cyclisme...qu'il en soit remercié.
Merci encore aux"petits" clubs formateurs !!!

pierro a écrit:

LINDER eric a écrit:

SOGRANI a écrit:A quoi ça sert de faire des copier coller de cyclismag.com ?

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Simplement pour dire que Popol c'était la classe un pur grimpeur et qui refusait de prendre un aspirine même pour un mot de tête (pour les mal-pensants).
Je connaissais très bien Jean-Paul ayant été coéquipier avec lui et j'habitais pas très loin de chez lui, hélas je n'ai plus de nouvelle de lui alors si quelqu'un en a. Je me rappelle du temps de Guimard il servait de dépannage à Bernard Hinault au cas ou un incident arrivait à Bernard avec une sortie de selle plus haute qu'elle ne devrait être. De plus il était d'une gentillesse.
Eric

Jean Paul ,travaillait il n' y a pas si longtemps ,à la mairie de Morsang sur Orge comme jardinier

Tout à fait...et en plus il est Morsantois...pas très loin de chez toi le Spinolien...